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Thomas Israël (1975) est un artiste multi-media à l’approche transversal. D’abord formé comme acteur, il fût actif au théâtre de 1998 à 2005 (Théâtre National de Belgique 2002 & 2003, Opera de Fribourg 2002). Il devient artiste interactif en 2005 et crée des installations immersives, des sculptures et des performances en body-mapping. Son approche atypique et transdisciplinaire des arts numériques tourne autour de thématiques sociales et humanistes, du corps, du temps et de l’inconscient. Ses créations ont été exposées dans des nombreux festivals, foires d’art contemporain, galeries d’art et musées, tels que le MoMA en 2006 (New York), Les Abattoirs en 2009 et 2011 (Toulouse), Le Musée des Beaux-Arts en 2016 (Mons), Le Musée National des Beaux-arts en 2015 (Québec), le Musée Juif de Belgique en 2016 et 2018 et Le Haifa Museum of Art en 2017.  Plusieurs centres d’art et galeries lui ont commandés des expositions monographiques, entre autre la galerie Charlot par trois fois, L’Orangerie (Centre d’art Contemporain à Bastogne) en 2010, la Galerie Merhart à Istamboul en 2013 et la Galerie PazYComedia en 2007. Il aime investir les lieux chargés d’histoires avec des projections video immersives, telles que la grotte préhistorique du Mas d’azil en 2009 & 2011 ou l’Abbaye de Villers en 2018. Sa première performance en body-mapping, Skinstrap, est lauréate du prestigieux Japan Media Art Festival en 2013. Depuis lors, ses performances en body-mapping interactif, fictions didactiques et surréalistes sur les thématiques de la couleur, la vision et du cancer tournent internationalement (Brésil, France, Écosse, Belgique, Costa Rica, Mexique, Canada et États-Unis). Sa monographie Memento Body est publiée à la Lettre Volée. Il est représenté par la Galerie Charlot à Paris et Tel-Aviv. Son travail fait partie des collections du MoMA de New York, du musée des Abattoirs de Toulouse, et du Musée Juif de Belgique. 

Parallèlement, il crée des environnements vidéo pour la scène, parfois interactifs. Pelléas et Mélisande pour l’Opéra de Bordeaux et le Le Tokyo Opera House en 2018, La Tragédie de Carmen avec Florent Siaud pour le Théâtre de Compiègne en 2019, la création Mondiale des Bains Macabres, Opéra de Guillaume Connaisson, pour le Théâtre de l’Athénée en 2020. Mais aussi Drip-hop pour Charlerois-Danse en 2012, ou Après nous les Mouches de Stéphane Bissot pour le Théâtre Varia à Bruxelles en 2017. En 2019 il signe la mise-en-scène, la scénographie et la vidéo de son premier opéra, la création scénique mondiale de Futari Shizuka du célèbre compositeur Toshio Hosokawa au Tongyeong International Music Festival, en Corée du Sud.

Il développe actuellement Falling Human, un projet multi-disciplinaire autours du transhumanisme et du biohacking.

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Thomas Israël (Bruxelles, 1975), artiste basé à Bruxelles, propose des installations, des sculptures, des scénographies vidéo et des performances qui sont autant d’œuvres immersives, génératives ou interactives. Issu des arts de la scène, son approche atypique et transdisciplinaire des arts numériques tourne autour de thématiques sociétales, du corps, du temps et de l’inconscient.
Après une formation d’acteur à l’INSAS (1998) et une carrière d’acteur et de concepteur dans le théâtre contemporain, Thomas Israël se forme au montage vidéo et à l’interactivité (Technocité 2004-2006) et rentre dans la création contemporaine multimédia avec Horizon TröM, une performance-installation sur le rêve et la mort.
Il est rapidement invité avec ses vidéos et installations interactives dans des Musées internationaux (MoMA de N-Y en 2006 ou il gagne le “MoMA Online Community Art Project – The Residents Re- Viewed”, Palais des Beaux-Arts de Lille 2008, Les Abattoirs de Toulouse 2009-2011, Europalia Chine 2009, Musée des Beaux-Arts de Mons 2016, Musée National des Beaux-arts du Québec 2015, Haifa Museum of Art 2017, Musée Juif de Belgique 2018) et des festivals d’art numérique (Vidéoformes 2006-07, Transnumériques 2006, 2008 & 2014, les Bains Numériques 2009).
En 2007 il crée ses premières sculptures vidéo à la Jozsa Gallery, travail qu’il continuera à Shanghai (Island 6 2007).
Il a présenté ses œuvres dans des nombreuses foires d’art contemporaine avec la Galerie Charlot (ART Brussels 2008, Scope Basel 2013, Art Karlsruhe 2013, Art Paris au Grand Palais 2014,) ainsi qu’à la Galerie Bruxelloise Aéroplastics Contemporary (2009).
Il est régulièrement soutenu par la Commission arts numériques de la Communauté française (There is no spoon 2007, Méta-crâne 2009). Depuis 2010, des institutions lui commandent des œuvres interactives pour leurs locaux (Holliday Inn Brussels Airport, Bureau International Jeunesse, Musée des Migrations 2019).
Il aime à projeter ses installations vidéo sur des surfaces chargés d’histoires telles que la grotte préhistorique du Mas d’azil (Dreamtime, 2009-11), la carrière de pierre de St Maximin (Journée du Patrimoine 2010), le pavillon Pierre Cardin (FotoFever, 2011) ou l’Abbaye de Villers (Digital contemplations 2018).
Skinstrap, sa première performance en body-mapping est lauréate du prestigieux Japan Media Art Festival 2013. Depuis, ses performances interactives en body-mapping sur la couleur, la vision ou le cancer tournent internationalement sur des scènes de théâtre et dans le milieux médical (Brésil, France, Écosse, Belgique, Costa Rica, Mexique, Canada et États-Unis). Il a créé avec Rhizome (Quebec) plusieurs spectacles de poésie multi-médiatique en collaboration avec poètes et musiciens.
Il a également créé des oeuvre spécifiquement pour des entreprises ou des organismes publiques, tel que La Wogatom Bubble pour le Holliday inn Brussels Airport et Flux pour le Bureau International Jeunesse à Bruxelles en 2010.
Parallèlement, il crée des environnements vidéo pour la scène, parfois interactifs. Pelléas et Mélisande pour l’Opéra de Bordeaux et le Le Tokyo Opera House en 2018, La Tragédie de Carmen avec Florent Siaud pour le Théâtre de Compiègne en 2019, la création Mondiale des Bains Macabres, Opéra de Guillaume Connaisson, pour le Théâtre de l’Athénée en 2020. Mais aussi Drip-hop pour Charlerois-Danse en 2012, ou Après nous les Mouches de Stéphane Bissot pour le Théâtre Varia à Bruxelles en 2017. . En 2018, Pelléas et Melisandre de l’opéra de Bordeaux, est élu 3ème meilleur événement de musique classique du Japon par Ongaku No Tomo.
En 2019 il signe la mise-en-scène, la scénographie et la vidéo de son premier opéra, la création scénique mondiale de Futari Shizuka du célèbre compositeur Toshio Hosokawa au Tongyeong International Music Festival, en Corée du Sud.
Sa monographie Memento Body est publiée à la Lettre Volée en 2013. Il développe actuellement Falling Human, un projet multi-disciplinaire autours du transhumanisme et du biohacking.
Il est représenté par la Galerie Charlot depuis 2010 à Paris et à Tel-Aviv avec 3 expositions monographiques. Il est présent dans la collection de plusieurs musées importants tels que le MoMA à New-York, Les Abattoirs à Toulouse, le Migratie Museum Migrations et Le Musée Juif de Belgique.

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